Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
NTIC
Article
NTIC

Afrique/Europe: comment les entreprises de la tech s’internationalisent

Publié le jeudi 20 janvier 2022  |  RFI
Women
© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
Women Techmakers (IWD) 2016 dans la capitale togolaise
Lomé, le 19 mars 2016. Hôtel Merlot. Dans le cadre de la commémoration de la Journée internationale de la femme, édition 2016, le Groupe des Développeurs Google (GDG) a organisé le Women Techmakers (IWD) à Lomé, placé sous le thème «Our time to Lead».
Comment



Dans le domaine des industries technologiques, les succès sont souvent spectaculaires et l'expansion internationale est rapide. Pourtant, il n'est pas toujours facile d'entrer sur les marchés étrangers. De plus en plus, les fonds d'investissement et les accélérateurs proposent de former les entrepreneurs à l'internationalisation de leur activité.

Partech est l'un des fonds d'investissements les plus connus dans la tech mondiale, et notamment dans l'industrie numérique africaine. Le fonds va lancer en février Chapter 54, un accélérateur destiné aux entreprises européennes qui souhaitent entrer sur le marché africain.

«Chaque année, nous allons sélectionner une dizaine d'entreprises qui ont déjà un certain nombre de références en Europe et qui ont dans l'idée que pour rencontrer le succès en Afrique, il va falloir tordre leur modèle opérationnel. Comment je vends, comment je paye, comment je suis payé, comment je recrute. Et en fait, nous allons leur proposer des sessions de mentorat, de coaching, ainsi que tout un écosystème de partenaires, soit quelque chose de très centré sur la réussite opérationnelle», explique Vincent Prévi, directeur général de Chapter 54.

Ce programme s'adresse aux entreprises que l'on appelle les «scale-up», celles qui ont franchi un certain seuil de réussite. Il est financé en grande partie par KfW, la banque de développement allemande. Partech s'appuiera pour les formations sur un réseau de professionnels africains.

«On a des modules qui vont être dédiés aux difficultés d'incorporer une entreprise en Afrique, dédiés à la difficulté d'y recruter, et l'on s'est doté d'un pool de mentors pour accompagner et les coacher sur ces sujets».

Mais les Européens ne sont pas les seuls à avoir besoin d'apprendre les marchés africains. Les entreprises du continent ont les mêmes besoins. À Kinshasa, Sidonie Latère dirige Kobo Hub, le plus réputé des accélérateurs d'Afrique Centrale. Kobo Hub se propose d'épauler les entreprises étrangères sur le marché congolais.
... suite de l'article sur RFI

Commentaires