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L’OMS a organisé à Lomé une consultation des responsables nationaux des services de laboratoire et diagnostic

Publié le mardi 21 juin 2022  |  aLome.com
Lomé
© aLome.com par Edem Gadegbeku & Dodo Abalo
Lomé a abrité du 14 au 16 juin 2022 une réunion de consultation des responsables nationaux des services de laboratoire et diagnostic de la région africaine de l’OMS.
Lomé a abrité du 14 au 16 juin 2022 une réunion de consultation des responsables nationaux des services de laboratoire et diagnostic de la région africaine de l’OMS (Organisation mondiale de la santé).
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Lomé a abrité du 14 au 16 juin 2022 une réunion de consultation des responsables nationaux des services de laboratoire et diagnostic de la région africaine de l’OMS (Organisation mondiale de la santé).
Le but de cette rencontre entre spécialistes était d’échanger sur les nouveaux développements du secteur à l’échelle internationale, d’assurer la promotion des nouvelles stratégies de renforcement des services de laboratoire et diagnostic. Et de mener des réflexions sur les pistes de solutions aux difficultés rencontrées dans l’organisation et le fonctionnement des systèmes nationaux de laboratoires.

Les trois (3) jours de concertation ont ainsi permis aux participants de faire le point sur la coopération entre les Services/Directions de laboratoire au niveau national et le Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique en matière de services de laboratoire et diagnostic, et d’élaborer une stratégie de renforcement de ces derniers afin d’atteindre la couverture sanitaire universelle.

Ils étaient seize (16) pays (Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cap-Vert, Cameroun, Comores, Congo, Gabon, Guinée, Madagascar, Niger, RDC, République centrafricaine, Tchad, Sénégal et le Togo) à participer à cette rencontre de haut niveau dans la capitale togolaise. Pour la Représentante de l’OMS au Togo, Dr Fatoumata Binta Diallo, «on n’a plus besoin de démontrer la place angulaire des services de diagnostic en laboratoire de qualité pour orienter les processus de prise de décision par les cliniciens, les épidémiologistes, les spécialistes de santé publique et les décideurs politiques».

«Tous les programmes de lutte contre les maladies, aussi bien celles transmissibles que non-transmissibles contre la résistance aux antimicrobiens et les programmes de promotion de la santé ont besoin des services de laboratoires pour être efficaces», a encore rappelé Dr Diallo à l’ouverture de cette importante réunion.


Akoyi A. & Dodo Abalo
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