La classe politique togolaise a toujours montré un visage peu reluisant, depuis notre indépendance, le 27 avril 1960…Entre un radicalisme suicidaire de Sylvanus Olympio, un tout autre radicalisme moyenâgeux de Gilchrist Olympio, Jean-Pierre Fabre, Patrick Lawson et Co., doublé d’une myopie politique nulle par ailleurs semblable, on ne se retrouve plus…
De l’autre côté de la barrière, le RPT, d’abord, puis aujourd’hui, UNIR qui, imperturbable, regarde le jeu puérile des partis UFC-ANC, et de leurs soi-disant alliés de circonstance (CAR, CDPA, CPP…), avec le pouvoir cinquantenaire, pétri d’expériences et d’idées venues d’ici et d’ailleurs…... suite de l'article sur Autre presse