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Faure Gnassingbé : il n’y aura pas un autre cadre de discussion autre que l’Assemblée nationale
Publié le vendredi 28 fevrier 2014  |  AfreePress


© AFP par DR
Faure Gnassingbé, président de la républiquedu Togo
Dakar : Le président sortant d`UEMOA, le Président togolais Faure Gnassingbe est décrit le 24 octobre 2013 à l`extrémité du sommet d`UEMOA à Dakar, Sénégal. Les chefs de l`union économique et monétaire d`Afrique occidentale se sont occupés du sommet.


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Le contenu du courrier que le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé a adressé à Jean-Pierre sur insistance de ce dernier pour l’ouverture « rapide » d’un dialogue politique devant servir de cadre pour les réformes constitutionnelles et institutionnelles est désormais connu.
Selon Faure Gnassingbé, on ne peut ouvrir un autre cadre de discussion pour prendre ces réformes alors que la population togolaise a doté le Togo le 25 juillet dernier d’une Assemblée nationale.
Conformément à l’Accord Politique Global (APG), chaque institution devra jouer son rôle pour l’enracinement de la démocratie au Togo et c’est à l’assemblée nationale que se décideront les réformes institutionnelles et constitutionnelles, ajoute-t-il.
« La consolidation de la démocratie dans notre pays exige que chaque institution joue pleinement son rôle.  Le peuple togolais a aujourd’hui l’avantage de disposer d’une Assemblée nationale où les principaux courants politiques sont représentés. L’assemblée nationale est le cadre le plus indiqué pour débattre utilement des réformes envisagées  conformément à l’esprit de l’Accord Politique global », telle est la réponse de Faure Gnassingbé à Jean-Pierre Fabre.
Par le biais de la même lettre, le chef de l’Etat dit avoir instruit le premier ministre « afin qu’il prenne les dispositions pour l’ouverture prochaine au sein de l’Assemblée nationale des discussions sur les propositions de réformes institutionnelles et constitutionnelles ».

Telli K.

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