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L’UE pour la protection et le respect des droits des personnes en conflit avec la loi au Togo
Publié le lundi 3 mars 2014  |  aLome.com


© Autre presse par DR
Nicolas Berlanga Martinez, ambassadeur européen au Togo accorde un financement à une ONG
Mardi 19 novembre. Kara. Nicolas Berlanga Martinez, ambassadeur européen au Togo a accordé un appui financier de 400 millions de Fcfa à l’ONG ‘Eau vive’


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"L'Union européenne considère comme l'une de ses priorités la protection et le respect des Droits de de l'homme dans sa politique de développement avec les pays tiers. Les progrès en matière de démocratie, de gouvernance et des droits de l'homme sont des questions de plus haute importance, et à cet effet, la Délégation de l'Union européenne au Togo vient de financer sur l'Instrument européen pour la démocratie et les droits de l'homme (IEDDH), trois projets pilotés par les organisations de la société civile au bénéfice d'une couche sociale de la population Togolaise en conflit avec la loi. Il s'agit de:
Soutien aux défenseurs des Droits de l’homme contre le mauvais traitement systématique des jeunes en conflit avec la loi et pour un meilleur accès à la justice dans quatre régions du Togo : Soumis par l'Union Chrétienne des Jeunes Gens/Young Men’s Christian Association (UCJG/YMCA), le projet vise les conditions jugées préoccupantes des détenus dans les prisons surpeuplées du Togo.

L'objectif est de renforcer les libertés fondamentales des jeunes en conflit avec la loi et à leur faciliter l'accès à la justice à travers les activités menées sur le terrain par six organisations de défenseurs des Droits de l'homme: l’UCJG/YMCA, la LTDH (Ligue Togolaise des Droits de l’Homme), ACAT (Action Chrétienne pour l’Abolition de la Torture), le BICE (Bureau International Catholique de l’Enfance), ASF (Avocats Sans Frontière) et GF2D (Groupe femmes démocratie et développement) dans leurs activités de plaidoyer et de promotion des Droits de l’homme. Le projet vise également les fonctionnaires pénitentiaires, de la police et du système judiciaire. L'Union européenne participe au financement du projet à hauteur de 498 000 euros soit 326,6 millions de francs CFA pour une durée de 36 mois".

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