Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Le CST qualifie la réponse du Chef de l’Etat à Jean Pierre Fabre comme une injure à l’opposition
Publié le lundi 3 mars 2014  |  Horizon news


© Autre presse par DR
Zeus Ajavon, le coordonnateur du CST


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Togo - « L’Assemblé nationale n’est pas un lieu de dialogue mais de débat politique parlementaire pour le vote majoritaire »


Le Collectif Sauvons le Togo (CST) balaie de main de revers la décision du Chef de l’Etat de renvoyer le dialogue à l’Assemblée Nationale togolaise suite à la réponse donnée au président de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) demandant au Chef de l’Etat d’ouvrir un dialogue pour les réformes institutionnelles et constitutionnelles.
Selon Me Zeus AJAVON, Coordonnateur du CST, le Chef de l’Etat fuit ses responsabilités en envoyant les réformes institutionnelles et constitutionnelles à l’Assemblée Nationale.

« On n’a l’impression que le Chef de l’Etat fuit le dialogue. Le cas palpable des difficultés de la mise en oeuvre des recommandations de la CVJR est de visue. L’Assemblé nationale n’est pas un lieu de dialogue mais de débat politique parlementaire pour le vote majoritaire. Les discussions et le consensus doivent être obtenus par le dialogue d’abord avant son passage à l’Assemblée. Instruire le Premier Ministre pour les échanges à l’Assemblée n’a aucune relation avec le dialogue. Le refus d'un dialogue pour un pays en crise est une injure pour l’opposition togolaise », a t-il martelé.

Le numéro 1 du CST avoue déjà débuter en passerelle des discussions avec les chancelleries, le ministre de l’administration territoriale, et autres personnes ressources de la scène politique pour préparer le dialogue officiel qui à son avis s’impose aux partis politiques parlementaires et extra-parlementaires avec le pouvoir.

« Au nom de la paix sociale, et de l’apaisement au Togo, nous avons accepté avaler les couleuvres pour participer au élections législatives, mais si les mêmes irrégularités vont reprendre, nous sommes désolés pour les autres élections à venir. Nous ne voulons pas des évènements à la Centrafrique ni à l’Ukraine car ne pas aller au dialogue, ni aux élections locales, ne pas faire des réformes avant les présidentielles, laisserait place aux dégâts », a t-il insisté.

Rappelons que le Cadre Permanent de Dialogue et de Concertation (CPDC) rénové a eu à pencher lors de ses travaux consacrés aux réformes institutionnelles et constitutionnelles avec un document de compilation de toutes les propositions du cadre permanent de dialogue et de concertation adoptées. Ce document a été déjà transmis au président de la République, Faure Gnassingbé pour appréciation.

 Commentaires