Lomé– Les acteurs des différents pays, parties prenantes du projet « Ma Santé, Mes Droits » sont, du 12 au 16 juin à Lomé, en atelier régional de revue et de planification des activités de l’année 2024.
Cet atelier régional est une initiative de Plan international Togo. Il vise la revue des actions entreprises courant la première année de mise en œuvre dudit projet (2023) et la planification des activités de l’année 2024. De manière spécifique, il sera question lors des travaux, d’évaluer le niveau d’organisation et d’exécution des activités au niveau du mouvement africain des femmes pour le développement de la communication de chaque pays partie prenante du projet ; d’identifier les bonnes pratiques et de procéder à la validation des activités de l’année 2024.
63 ans
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Les travaux seront scindés en trois parties. La première sera axée sur des présentations et échanges sur la Santé sexuelle et droit sexuel reproductif (SSDSR) et sur la position de Plan international sur le sujet. La deuxième partie sera consacrée aux rappels sur le projet « Ma Santé, Mes Droits », sa logique d’intervention, le contenu des activités et les règles du bailleur. La dernière partie concernera la revue des indicateurs, des cibles, l’identification des activités spécifiques et le développement des plans d’action pour chaque pays.
Ouvrant les travaux, la représentante résidente de Plan international Togo, Awa Faly Ba, a indiqué que cet atelier se veut une rencontre de renforcement de cohésion entre acteurs de mise en œuvre dudit projet et de planification. Pour elle, le démarrage de ce projet a montré une diversité de défis, mais également une grande diversité dans les capacités des différents pays à répondre à ces défis. « Il faut s’assurer qu’on va ensemble, parce qu’il y a six pays différents, mais il y a un seul projet et il faudrait qu’on s’assure qu’on a de la cohérence dans ce projet, des mécanismes d’apprentissage mutuel, une façon uniforme du déroulé de projet », a conclu Mme Awa Faly Ba.
« Ma Santé, Mes Droits » est un projet visant trois piliers principaux à savoir la mise en œuvre d’une éducation complète à la sexualité, le renforcement des services adaptés aux adolescents et au genre, et le renforcement de la coopération Sud-Sud. Le projet couvre six pays que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée, la Guinée Bissau, la Sierra Léone et le Togo où est basé l’unité de coordination.