Kpalimé- Les membres de l’association ‘’Fraternité des Anciens Elèves de Kpalimé (FAEK) ont organisé, le samedi 29 juillet à Kpalimé, des retrouvailles pour se donner un nouvel élan après trois années d’exercice. Il s’agit d’une rencontre au cours de laquelle, les membres ont également fait le bilan des activités de la FAEK, menées depuis 2021.
Au cours de cette journée, ensemble avec ceux de la diaspora, ils se sont rappelés des vieilles années passées ensemble au cours primaire et au collège. Ils ont également passé en revue les textes de l’association notamment les statuts et le règlement intérieur afin de mieux aborder les nouvelles donnes que leur imposent les nouvelles orientations.
Evala Annonce
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Les défis sont l’assistance aux petits frères et sœurs encore sur les bancs de l’école à Kpalimé, accompagner la jeunesse à être plus ambitieux et à s’inscrire dans la dynamique selon laquelle, l’avenir appartient à la jeunesse.
Le bilan des trois années d’exercice est positif selon le président de l’association FAEK, Didier M’Blékou. Il a rappelé qu’ils ont fait des dons dans les établissements scolaires selon les besoins, notamment aux lycées de Kpodzi et Zomayi, au collège protestant. Il a indiqué qu’ils sont entrain de chercher des stratégies à mettre en œuvre pour mieux orienter les élèves. Le président de la FAEK a lancé un appel appel aux anciens élèves de Kpalimé, à se joindre à eux.
Mme Bénédicte Gnagnan, membre de l’association, a exhorté les élèves aux études, précisant que l’éducation est la base de toutes les connaissances. « C’est l’éducation qui libère et fait la fierté de l’homme » a-t-elle relevé. Elle a demandé aux élèves de Kpalimé de ne jamais abandonné les études, mais aller plutôt de l’avant et persévérer.
Créée en janvier 2021, l’association FAEK a pour objectif, de promouvoir les droits de la jeunesse, notamment ceux liés à l’éducation, la santé et la formation ; contribuer à l’accessibilité de l’éducation à tous les enfants, notamment aux jeunes filles ; lutter contre les grossesses non désirées, les IST/VIH/SIDA ainsi que les maladies opportunistes en milieu scolaire ; renforcer l’inclusion sociale et l’employabilité des jeunes.