Emmanuel Macron a par ailleurs affirmé qu’un retrait des troupes françaises ne pourrait avoir lieu qu’à la demande du président renversé, Mohamed Bazoum.
Les tensions entre Paris et Niamey ont donné lieu à une nouvelle passe d’armes ce week-end. Tout en continuant de refuser un retrait rapide de ses troupes du Niger, la France a démenti les accusations portées samedi 9 septembre par la junte, qui lui reproche de « déployer ses forces dans plusieurs pays de la Cedeao [Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest] dans le cadre de préparatifs d’une agression contre le Niger, qu’elle envisage en collaboration avec cette organisation communautaire ».... suite de l'article sur LeMonde.fr