Le Groupe de la Banque mondiale va aider le Togo à améliorer l’accès à l’eau potable dans la capitale.
100 millions de dollars seront engagés sur les six prochaines années (2023-2029) pour la mise en œuvre du projet d’amélioration de la sécurité hydrique en milieu urbain au Togo (PASH-MUT).
L’objectif est d’étendre l'accès à l'eau potable dans le Grand Lomé par la mise en place de 6 systèmes autonomes d'approvisionnement dans les zones périphériques de Lomé (Adétikopé-Est, Togbékopé, Apéssito, Kohé, Zanguéra, Dévégo) et de renforcer la capacité de production de la TdE (Togolaise des Eaux) dans Lomé-Commune.
Des forages seront construits ou réhabilités et une partie du réseau d’approvisionnement modernisé
Ce vaste projet a été lancé mardi par la Première ministre, Victoire Tomégah-Dogbé.
‘L’eau représente un des facteurs en soutien à la croissance de l’économie. Elle reste une source de base vitale pour le bien-être de nos populations pour leur assurer une meilleure alimentation, une meilleure santé et leur permettre de disposer d’un cadre de vie sain’, a-t-elle déclaré.
‘L’eau représente un des facteurs en soutien à la croissance de notre économie. Elle reste une source de base vitale pour le bien-être de nos populations pour leur assurer une meilleure alimentation, santé et leur permettre de disposer d’un cadre de vie sain’, a-t-elle indiqué.
Plus d’un million d’habitants seront les bénéficiaires directs.
L’accord a été signé avec Fily Sissoko, le représentant de la Banque mondiale au Togo.
‘Le Togo dispose d'abondantes ressources en eau mais leur gestion dans le Grand Lomé soulève des défis majeurs comme la surexploitation, la pollution ou encore l’insuffisance des services d’eau potable et d’assainissement. Or, les pressions sur les ressources en eau sont amenées à s’accentuer en raison des changements climatiques et la pression démographique’, a-t-il souligné.