Il est l’un des coaches en développement personnel intégral, semble-t-il, actuellement en vogue à Lomé. Labaéka Tidjani-Dourodjaye, puisque c’est de lui qu’il s’agit, voici son portrait en cinq éléments.
1-Lama-Kara
Labaéka Tidjani-Dourodjaye est né le 14 novembre 1977 à Lama-Kara, l’ancien nom de la ville de Kara, chef-lieu de la région de la Kara, située à environ 423 kilomètres au nord de Lomé, la capitale du Togo.
2- Marketing
Par rapport à ses premières études supérieures, il était destiné à une carrière en marketing, étant titulaire d’un diplôme du Brevet de technicien supérieur (BTS) en commerce international, un précieux sésame obtenu en 2005.
3- Coaching
Tout va s’enchaîner rapidement dans sa vie lorsqu’il découvre qui il est réellement. D’abord Certificat d’aptitude au métier de coach, ensuite une Licence professionnelle en coaching intégral et enfin un Master professionnel en coaching intégral. S’ensuivra une thèse. « Beaucoup ne réussissent pas parce qu’ils ne se font pas accompagner par un coach capable de les aider à extérioriser toutes les potentialisées que Dieu a mises en eux », confie-t-il.
4-Hobbie
Labaéka Tidjani-Dourodjaye a une devise. Et elle est simple et claire : apprendre davantage pour acquérir de nouvelles connaissances. Et il s’emploie à tout mettre en œuvre pour y parvenir, toujours souriant comme pour dire le sourire attire les bonnes choses, les choses positives. La vie est composée de deux choses : l’amour et la peur. « Si tu choix la peur, tu vas échouer. L’amour est synonyme de réussir, de bonnes perspectives », aime-t-il répéter à son entourage ou à ceux qui viennent le consulter.
5- Auteur
Pour mieux faire passer ses messages dans l’opinion d’ici et d’ailleurs, il ajoute une nouvelle corde à son arc. Le samedi 7 octobre dernier, il a présenté son tout premier livre à Lomé. Intitulé « Le changement de paradigme en Afrique s’impose », il est publié aux Editions Germinale.
L’auteur, un fan du célèbre journaliste camerounais Alain Foka de Radio France internationale (RFI) – ce dernier va démissionner à la fin de ce mois d’octobre pour se lancer dans une autre activité professionnelle à Lomé – y montre qu’il important que l’Afrique bâtisse « des partenariats mutuellement bénéfiques avec le reste du monde, ce qui permettra aux Africains d’assurer le développement de leur continent et le bien-être de leurs peuples ».