Les réformes institutionnelles et constitutionnelles pourront être discutées au sein de l’Assemblée nationale ou dans tout autre cadre. L’important pour Georges Aïdam, le premier vice-président de l’Union pour la République (UNIR, majorité présidentielle), est d’aboutir à un large consensus sur ces questions.
L’esprit d’ouverture dont a fait preuve le chef de l’Etat doit permettre d’avancer rapidement, explique M. Aïdam dans l’entretien qui suit.... suite de l'article sur Autre presse