séminaire de « grande réflexion sur les effets des violences basées sur le genre, sur la santé maternelle et infantile au Togo » retient l’attention du Groupe de réflexion et d’action femme, démocratie et développement (GF2D) et ses partenaires ce jeudi à Lomé.
Pendant deux jours, les différents participants vont renforcés les approches de solution sur la santé communautaire « efficaces » avec au terme l’élaboration d’un guide de sensibilisation, la validation d’un document de plaidoyer et une déclaration en direction de l’Assemblée nationale pour adoption.
Pour la secrétaire générale du GF2D, « la lutte contre la morbidité et la mortalité maternelle est aujourd’hui une priorité de santé publique et un impératif social, moral et politique qui s’inscrit dans le cadre de la promotion des droits de la personne et de la femme ainsi que l’équité sociale ».
Il faut noter que selon les données d’ONU femmes, plus de 12% de femmes et filles togolaises sont victimes de violence sexuelle au moins une fois par an et 4% « sont sujettes au harcèlement sexuel, à l’inceste et à l’avortement forcé ».