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‘Oreille attentive’ des officiels Français
Publié le mardi 25 mars 2014  |  Republicoftogo


© aLome.com par Parfait
Une femme leader
Brigitte Adjamagbo de la coalition Arc-en-ciel


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Pour une partie de l’opposition togolaise, les affaires politiques nationales se traitent aussi à Paris. Une délégation de la coalition ‘Arc en ciel’ vient de passer une petite semaine en France histoire de parler du processus de dialogue en cours au Togo et, naturellement, des prochaines élections présidentielles qui auront lieu en 2015.

Paul Dodji Apévon et Brigitte Johnson Adjamagbo, deux des responsables de ce regroupement de partis, se sont entretenus avec plusieurs responsables français.

Mardi au micro de Victoire FM, M. Apévon a indiqué qu’une rencontre s’était déroulée au ministère des Affaires étrangères avec des fonctionnaires afin de ‘pousser les choses dans le bon sens en sollicitant l’appui des autorités françaises pour faire écouter la voix de l’opposition au gouvernement sur la question des réformes politiques’.

‘Nous avons été reçu ce matin (lundi, ndlr) au Quai d’Orsay et nous avons dit aux autorités de faire en sorte que les réformes que nous demandons pour l’apaisement du climat politique puissent se faire afin d’aborder l’avenir avec plus de sérénité’, a-t-il déclaré.

M. Apévon affirme avoir trouvé une oreille attentive auprès de ses interlocuteurs.

‘L’accalmie qu’il y a pour l’instant doit nous permettre d’aller aux réformes de manière apaisée. Il faut le faire maintenant plutôt que d’attendre encore un climat surchauffé’, a-t-il ajouté.

Le Premier ministre togolais, sur instruction du chef de l’Etat, a reçu il y a quelques jours les représentants des formations politiques afin d’évoquer les réformes institutionnelles et constitutionnelles.

Il s’agit essentiellement de la révision du mode de scrutin et la limitation du mandat présidentiel.

Reste à définir le cadre des discussions. Pour certains, le cadre naturel est l’Assemblée nationale, mais pour d’autres, il est nécessaire de créer un cadre de dialogue.

La visite d’une délégation d’opposants à Paris n’a rien d’exceptionnelle. Les autorités françaises reçoivent régulièrement les représentants des oppositions africaines. En outre, il existe un dialogue constant avec l’ambassade de France à Lomé.

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