Des heurts ont été signalés à Lomé, au Togo, au premier jour des appels à manifester contre le pouvoir de Faure Gnassingbé. Des appels qui ont circulé sur les réseaux sociaux, invitant la population à descendre dans la rue les 26, 27 et 28 juin. En réaction, les autorités ont formellement interdit tout rassemblement non autorisé. D'importants dispositifs policiers étaient d'ailleurs visibles dans plusieurs quartiers de la capitale.
Des rues barrées, des commerces fermés
Des pneus et des barricades de bois brûlaient dans certaines rues de Lomé où de nombreux commerces sont restés fermés au premier jour de ces appels à manifester.
À Gbadago, ou encore aux abords de la Colombe de la Paix, des manifestants ont été dispersés à coups de gaz lacrymogènes.... suite de l'article sur Autre presse