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« 4257 milliards FCFA d’appui de l’UE pour la période 2015-2020 au PAPED »
Publié le jeudi 27 mars 2014  |  Horizon news




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Après l’appui d’au moins 6,5 milliards € (4257 milliards FCFA) de l’Union Européenne pour la période 2015-2020 au Programme de l’Accord de Partenariat Economique pour le Développement (PAPED) dans la région Afrique de l'Ouest, les professionnels des médias du Togo ont pris par ce matin du 25 mars à une formation de sensibilisation et de vulgarisation sur les tenants et aboutissants du processus de l’Accord Partenariat Economique (APE).


La dimension développement de cet accord représente les conditions nécessaires pour tirer profit des opportunités qu’offre la libéralisation commerciale.


Selon Antoine AGBADOME, conseiller régional en politiques commerciales commissions de la CEDEAO, pour atteindre ces résultats, les Etats de l’Afrique de l’ouest se doivent de mener à bien les programmes de mise à niveau des entreprises et de renforcement des capacités institutionnelles et des ressources humaines.


« Dès le début, les chefs d'État ont indiqué qu'ils accepteraient de négocier à la condition que l’accord comprenne un volet important dédié à l'aide au développement. Après cet accord de principe entre l’UE et la CEDEAO, il urge de conduire avec rigueur les réformes économiques nécessaires à la transition vers une économie de développement », a t-il expliqué.

« Les projets de textes bien définirent, doivent nécessairement permettre au secteur privé de libéraliser un certain nombre de produits à exporter et aux produits importés de revenir moins chers avec objectif de booster l’économie régionale », a poursuivit, Antoine AGBADOME.

Le PAPED a pour objectif d’établir un partenariat économique et commercial visant à réaliser une croissance économique rapide, soutenue et créatrice d’emplois, à réduire puis à éradiquer la pauvreté, à relever les niveaux de vie, réaliser le plein emploi, diversifier les économies, accroître le revenu réel et la production, d’une manière compatible entre autres promouvoir l’intégration régionale, la coopération économique et la bonne gouvernance économique dans la région Afrique de l'Ouest.

La majorité des pays membres de la CEDEAO, à l'exception du Nigeria, du Ghana et de la Côte d'Ivoire font partie de la liste des pays les moins avancés (PMA). Par conséquent, ils bénéficient déjà d'un libre accès vers le marché européen.

L'ultime obstacle à la signature de l'accord portait sur la durée du processus de libéralisation des marchés des pays de l'Afrique occidentale. Les États africains ont obtenu une libéralisation de leurs marchés à 75 % sur une période de 20 ans alors que Bruxelles voulait une ouverture des marchés à 80 % sur 15 ans.

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