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Législatives apaisées : "Les élections ne doivent plus être un cauchemar pour qui que ce soit" (Colonel Yark Damehame)
Publié le vendredi 23 aout 2013  |  Savoir News


© Autre presse par DR
Yark Damehane, ministre de la sécurité et de la protection civile.


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"Les élections ne doivent plus être un cauchemar pour qui que ce soit" au Togo, a affirmé jeudi le ministre de la sécurité le Colonel Yark Damehame, se réjouissant de la bonne tenue des élections législatives du 25 juillet dernier.

Ce scrutin s’est déroulé dans le calme et dans des "conditions acceptables", selon les différentes missions d’observation électorales déployées au Togo dont celles de l’Union africaine, de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédéao) et de la Francophonie. Pas de violences, à part quelques incidents mineurs.

Le Togo est marqué par des élections contestées par l’opposition, suivies de vagues de violences. Cette image s’efface peu à peu de la mémoire des togolais depuis les élections législatives d’octobre 2007, saluées par toute la communauté.

"Les élections ne doivent plus être un cauchemar pour qui que ce soit. D’ailleurs, tous les acteurs nationaux et internationaux impliqués dans le processus, sont unanimes que la Force Sécurité Elections" (FOSEL/2013) a brillamment accompli sa mission", a souligné le Colonel Yark Damehame.

Composée de 6.500 gendarmes, policiers et gardiens de préfectures, cette Force est chargée d’assurer la sécurité avant, pendant et après ces élections.

Selon le ministre de la sécurité, l’exploit réalisé par la FOSEL/2013 "est la résultante d’une volonté collective, de la détermination de tous - acteurs nationaux et internationaux - et de la foi en ce que nous voulions".

"Ce n’est non plus, le fruit du hasard, car depuis des mois auparavant, nous travaillons pour qu’il en soit ainsi", a-t-il souligné. Ce dernier a fustigé le fait que certains considèrent les forces de sécurité comme une "composante entièrement à part".

"Il n’y a pas de raison que les forces de sécurité qui sont une émanation de la société, soient toujours perçues comme une composante entièrement à part. Nous sommes un maillon de la grande chaîne nationale qui a sa partition à jouer au même titre que les autres acteurs sociaux", a précisé le ministre.

"Et nous entendons la jouer pleinement pour le bien et l’intérêt de nos populations et de notre pays, en veillant avec votre concours à tous, à ce que la protection des personnes et de leurs biens, soit une réalité au quotidien", a-t-il ajouté. FIN

Edem Etonam EKUE

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