Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Le «club» des chefs d’Etats de la CEDEAO face aux enjeux électoraux de 2015
Publié le mardi 1 avril 2014  |  Fabbikouassi blog's


© aLome.com par Atapointe
Le président John Dramani Mahama élu à la tête de la CEDEAO
Samedi 29 mars 2014. Yamoussoukro (Côte d`Ivoire). Le président ghanéen John Dramani Mahama succède au président ivoirien Alassane Ouattara a la tête de la CEDEAO


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


Réunis à Yamoussoukro en côte d’ivoire, dans le cadre de leur 44ème Sommet, les présidents bien élus et mal élus de la communauté des états d’Afrique de l’ouest semblent préoccuper par les processus électoraux auxquels doivent faire face l’année prochaine cinq (05) pays de la communauté notamment le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Nigeria, et le Togo. Hormis le Nigéria qui s’efforce d’organiser des élections démocratiques, les quatre autres sont habitués aux processus mouvementés avec une palme d’or pour le Togo champion en hold-up électoral avec l’aval de la CEDEAO et autres organisations par le biais d’observateurs véreux.


« Dans la perspective des importantes élections prévues en 2015 au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, en Guinée, au Nigeria, et au Togo, la Conférence a exprimé sa ferme détermination à contribuer à ce que ces scrutins se tiennent dans un environnement paisible, consensuel et en conformité avec les normes régionales ».

Peut-on lire entre autre dans le communiqué des chefs d’états ouest africains. Le langage reste diplomatique certes mais les normes régionales dont fait mention le communiqué sont celles de la démocratie. A cet effet, les dispositions du protocole de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance sont claires, notamment en son article 1er en son point petit b, « toute accession au pouvoir doit se faire à travers des élections libres honnêtes et transparentes ».

Les chefs d’états dont la plupart ne savent que faire de la notion d’élections transparentes doivent dépasser l’étape de la préoccupation et travailler à ce que leurs pairs atteints du « virus du pouvoir éternel » abandonnent toute velléité de tronquer la volonté du peuple contre la leur et celle de leur clan qu’il serve au détriment de la grande majorité. Dans ce registre figure en première ligne Faure Gnassingbé qui n’a jamais gagné d’élections de même que son père qu’il a succédé dans le sang dans une mascarade électorale inouïe. Les observateurs de la CEDEAO de connivence avec la dictature dynastique du Togo ont donné un blanc seing à ce coup d’état électoral qui reste une innovation sur le noir continent.
En termes de légitimité la CEDEAO a fort à faire pour convaincre qu’elle est une force communautaire capable de faire respecter la vérité des urnes. Pour l’instant du moins dans le cas togolais, elle reste une communauté caution de la tricherie, de la fraude et du gangstérisme en matière d’élections.



... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires