Délinquance, escroquerie, trafic d’influence, c’est le nœud que le sieur Kossi, vivant à Adjidogomé, dont nous taisons pour le moment le nom de famille tisse chaque jour au Togo. Il a escroqué deux victimes. De surcroît, il fait intervenir dans le dossier, une affaire civile, un ancien ministre et refuse de se présenter à la gendarmerie.
Le pot au rose a été découvert par deux de ses victimes depuis décembre 2013. Il a promis ciel et terre à ses victimes depuis mars 2012, mais finalement, ils ont découvert que le sieur Kossi est un troubadour de grand chemin.
Convoqué à la gendarmerie, il a échappé au gnouf grâce à un calendrier de paiement qui devrait prendre fin en mars. Dans le dossier, le sieur Kossi a du faire recours à un ancien ministre vivant à Adjidogomé qui l’a défendu à la gendarmerie.
Le jour de la convocation, le sieur convoqué à 9 heures, a été en retard de 2 heures, mais les gendarmes n’ont rien fait pour rappeler à l’ordre l’escroc. Le sieur Kossi avec l’aide d’un huissier prend un engament devant le gendarme que : « Le cabinet de l’huissier va payer les sous en trois tranches ».
Le gendarme qui veut régler le problème rassure la victime : « Il va payer, hier soir je ne suis pas là et l’huissier a appelé pour dire qu’il va payer. C’est également le cas de l’ancien ministre ». Le gendarme a poursuivi le jour de la convocation : « Il y a un ancien ministre qui est intervenu dans le dossier ».
Un mois après ne respectant pas ses engagements, la victime a convoqué l’escroc derechef à la gendarmerie. Allègrement, l’escroc a refusé de répondre à la convocation deux fois de suite.
La victime pour couper court convoque à la justice l’escroc. L’affaire est actuellement devant les juridictions compétentes togolaises. Appelé pour retirer la convocation, au téléphone, il a raccroché dans les oreilles de sa victime. La victime se dit serein et fait confiance à la justice togolaise. Faudrait-il le rappeler, l’escroc a fui son ancienne maison. Le cabinet de l'huissier qui se trouve à Lomé n'a jamais appelé la victime.
La victime se prépare à envoyer une note à une institution internationale dont le siège se trouve au Togo pour le dénoncer.
Dans un autre article, vous serez informé des tenants et aboutissants de ce dossier fumant que nous suivons de près. Tous les noms seront cités dans le prochain article.
