Le BAC estime que, le cadre idéal pour parler des réformes constitutionnelles et institutionnelles est l’Assemblée Nationale

Politique

Publié le lundi 14 avril 2014 | Icilome

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Thomas Kokou N’soukpoe president du Bloc d’Action pour le Changement ( Bac )

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Affaires réformes politiques relatives à l`APG de 2006

«En tant que jeune parti politique sur l’échiquier national, nous ne voyons pas un autre cadre, domaine dans lequel, les réformes puissent se faire si ce n’est l’assemblée nationale ». C’est ce qu’a déclaré Thomas Kokou Nsoukpoe, président du Bloc d’Action pour le Changement (BAC) samedi au cours d’un point de presse.

Pour le BAC, point n’est besoin de créer d’inutiles polémiques. Les togolais ont faim, les besoins sont là et l’attente des citoyens de plus en plus grande.

Discuter des questions liées aux réformes constitutionnelles et institutionnelles dans un autre cadre comme le souhaitent vivement le Collectif Sauvons le Togo, l’ARC EN CIEL, n'est pas une bonne idée.

Le BAC a exhorté samedi, la classe politique notamment celle de l’opposition, à éviter de faire du dilatoire sur les questions de réformes. Pour le BAC, à l’heure où nous sommes et avec le retard que le Togo a accusé, nous ne devons plus faire la politique politicienne qui fait tarder davantage le développement du pays.

«Il va falloir que l’opposition saisisse cette occasion qui se présente devant elle pour réaliser enfin les grands défis qui attendent le peuple dans les domaines suivants : santé, éducation, l’emploi, l’agriculture etc.

Créer un autre cadre pour parler des réformes, non. Le BAC est clair : le Cadre Permanent de Dialogue et de Concertation rénové (CPDC-r) a déjà tout fait.

« Que ceux qui étaient absents à ce CPDC rénové fassent des lobbyings pour que le gouvernement engage ces réformes et que le texte adopté par consensus passe à l’Assemblée Nationale », préconise Thomas Kokou Nsoukpoe.

Le BAC est un petit parti politique parmi les formations politiques au Togo. Mais depuis le 14 avril 2012, le parti a décidé de faire alliance avec le l’Union pour la République (UNIR) de Faure Gnassingbé. Le BAC ainsi que le PRR de Nicolas Lawson, l’UFC de Gilchrist Olympio ne sont pas sur la même longueur d’onde que le CST et l'arc en ciel sur la question de cadre de discussion des questions liées aux réformes constitutionnelles et institutionnelles.

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