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Le BAC fustige la marche du 26 avril 2014 du CST
Publié le lundi 14 avril 2014  |  AfreePress


© Autre presse par DR
Thomas Kokou N’soukpoe president du Bloc d’Action pour le Changement ( Bac )


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Togo - Le président du Bloc d’Action pour le Changement (BAC), Thomas Kokou N'soukpoé se dit très remonté contre l’appel à la mobilisation populaire lancé par le Collectif « Sauvons le Togo » (CST) sur le 26 avril 2014 pour contraindre le pouvoir à ouvrir un cadre de dialogue.


Pour lui, pas question de mobiliser encore la population alors que les gouvernants, en premier lieu le président de la République, Faure Gnassingbé et le premier ministre, Séléagodji Ahoomey-Zunu se sont montrés « ouverts » aux appels des responsables du collectif.

« Le chef de l’Etat leur a dit d’aller voir le premier ministre qui les a reçus. Si aujourd’hui il y a un problème, il faut qu’ils retournent voir encore le chef de l’Etat, il n’y a pas question qu’ils organisent encore une marche le 26 avril qui se trouve être la veille de la célébration de l’indépendance de notre pays le Togo. La date du 26 avril, ce n’est pas la date du CST, ni la date à aucune formation politique », a-t-il confié à un reporter de l’Agence Afreepress.

Au lieu de passer le temps à faire la « politique politicienne », il est temps pour les politiques de penser au développement du Togo, a-t-il souligné.

« Par rapport à tout ce qui se passe, nous disons au peuple togolais que les politiciens que nous sommes, nous les avions trompés, il faut que nous cessions de faire la politique politicienne et que nous pensions au développement du pays ».

Le 5 mars dernier, le président de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC), Jean-Pierre Fabre et certains responsables du CST ont rencontré le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé sur la question des réformes constitutionnelles et institutionnelles.

Les discussions se sont poursuivies le 14 mars dernier avec les responsables des formations politiques présentes à l’Assemblée nationale avec le premier ministre. Mais depuis, l’opposition monte au créneau pour crier à la « mauvaise foi » du pouvoir qui, selon eux, « n’a aucune intention d’ouvrir un cadre de discussion ».

Telli K.

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