11 jeunes casseurs interpellés lors de la manifestation organisée en mai dernier à Lomé par le Collectif sauvons le Togo (CST) et par la coalition Arc-en-ciel, seront fixés sur leur sort le 4 septembre.
Le Parquet a demandé un an de prison contre 7 d’entre-eux et la relaxe pour les autres.
Ces individus sont accusés de violences volontaires sur des agents de sécurité et de dégradation de biens publics.