Togo - Le monde entier célèbre ce 3 mai, la journée mondiale de la liberté de la presse. Dans le cadre de cette journée, la ministre en charge de la Communication, Germaine Kouméalo Anaté a réitéré dans son message à l’occasion de la célébration de cette journée, le « prix » que l’Etat togolais attache à ce principe.
« Garantie » à la fois par la loi fondamentale du pays, par les différentes conventions auxquelles l’Etat togolais a librement souscrit, mais aussi par le code de la presse, la liberté de la presse selon elle, bénéficie de « l’un des meilleurs environnements juridiques en Afrique ».
« Cependant, il ne faut pas perdre de vue que le maintien de cet environnement, mieux encore, son amélioration, passe irrémédiablement par le respect scrupuleux des règles régissant l’exercice d’unité de la presse », a-t-elle rappelé.
Aussi, n’a-t-elle de place » et de raison d’être que « si elle accompagne la construction d’un avenir meilleur pour tous les citoyens togolais », a-t-elle souhaité.
Elle n’a pas manqué d’indiquer que ce principe doit également jouer son rôle dans l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), « même après l’échéance 2015 ».
Pour finir, dit la ministre, la liberté de la presse, issue de la liberté d’expression, constitue l’un des principes clés de l’établissement et du développement d’un Etat économiquement et socialement stable.