Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
NTIC
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

NTIC

Liberté et déontologie
Publié le samedi 3 mai 2014  |  Republicoftogo


© Autre presse par DR
Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

‘Aucun jour ne s’écoule sans que la liberté de la presse ne soit bafouée », a affirmé le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki Moon, à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la liberté de la presse célébrée samedi 3 mai. Selon lui, les journalistes sont enlevés, détenus, battus, voire assassinés à cause des vérités dérangeantes qu’ils énoncent.

Quatorze journalistes ont été tués cette année, et soixante-dix autres ont connu le même sort l’année dernière, a indiqué le secrétaire général de l’Onu.

Toujours selon Ban Ki-moon, deux cent onze journalistes ont été emprisonnés l'anné dernière. Et quatre cent cinquante-six autres ont été contraints à s’exiler depuis 2008.

Plus d’un millier ont été tués depuis 1992, pratiquement un par semaine.

Face à ces statistiques alarmantes, le secrétaire général de l’Onu estime qu’il ne saurait y avoir d’impunité pour ceux qui prennent les journalistes pour cibles, les soumettent à des actes de violence ou d’intimidation, ou recourent à des procédures juridiques perverties pour perturber ou entraver leur travail.

Ban Ki-Moon a invité tous les Etats membres de l’Onu à placer la liberté des médias au centre d’action visant à promouvoir la sécurité, la dignité et la prospérité pour tous.

Pour lui, la liberté des médias est indispensable au développement, à la démocratie et à la bonne gouvernance.

Le secrétaire général de l’Onu a déploré les violations des droits de s’informer et d’informer librement encore enregistrées, malgré l’attachement que son organisation témoigne chaque année à cette liberté fondamentale.

La ministre togolaise de la Communication, Kouméalo Anaté, a rappelé en ce jour que son pays offrait l’un des meilleurs environnements juridiques en Afrique pour encadrer et assurer l’émergence d’une presse libre, indépendante et plurielle. Mais elle a appelé à davantage de rigueur et de professionnalisme chez les journaliste et au respect des règles de la déontologie.

Un rappel opportun au regard des nombreuses dérives observées ces dernières années au Togo.

 Commentaires