Les réformes constitutionnelles et institutionnelles prévues par l'Accord Politique Global signé en 2006 constituent un boulet que trainent la classe politique et le peuple togolais depuis plusieurs années, constate lundi Nouvelle Opinion.
L’hebdo revoie dos à dos le pouvoir et l’opposition, mais avec une responsabilité certaine de l’opposition radicale ‘qui n’a pas envie que le Togo aille dans le bon sens’.