A l’issue de la 3e rencontre des formations représentées à l’Assemblée concernant les réformes politiques, Patrick Lawson, l’un des responsables de l’ANC (opposition) a fait part de son optimisme. Mais un optimisme prudent. Il a expliqué que l’ensemble des participant était tombé d’accord sur le principe d’avoir recours à un facilitateur en cas de blocage.
Mais les avis divergent sur son intervention. Si pour l’ANC et d’autres partis ce ‘médiateur’ doit être présent avant même le début des discussions, pour d’autres sa présence ne serait requise qu’en cas de difficulté majeure.
Or pour le moment, les protagonistes ne sont pas encore rentrés dans le vif du sujet.
Les politiciens togolais peuvent très bien s’entendre sur l’essentiel sans la présence d’un ‘grand frère’.
12 points sont à l’ordre du jour des discussions parmi lesquels le mode de scrutin et la limitation du mandat présidentiel.