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La Céni prend de vitesse le dialogue intertogolais
Publié le jeudi 22 mai 2014  |  Le temps


© Autre presse par DR
Les membres de la CENI avec au milieu Mme Angèle Dola Aguigah.


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Il ne faut pas jouer aux Cassandre, mais la Commission électorale nationale indépendante (Céni), mise en veilleuse depuis la fin des législatives dernières, vient de sortir de sa léthargie par la tenue d’une réunion ce matin. Et ce n’est pas bon signe, car cette réactivation intervient au moment même où se tient le dialogue intertogolais, dont l’un des points en discussion est justement la réforme du code électoral et la CENI.

Outre l’inventaire du matériel électoral en cours à la CENI actuellement, s’organisent les travaux préparatoires de la révision de la liste électorale, etc. Les équipes de la CENI s’appliquent à exécuter ces travaux techniques avec rigueur afin d’assurer aux étapes du processus électoral à venir la fiabilité et la crédibilité requises, indique le communiqué en ligne.

Les membres de la Céni disent entreprendre ses actions en prévision de la présidentielle qui aura lieu probablement en 2015, selon leur interprétation de l’article 61 de la Constitution.

Selon le code électoral qui dispose de son statut, « les membres de la CENI sont nommés pour un mandat de un an renouvelable. Ils restent en fonction jusqu’à la mise en place d’une nouvelle CENI ».

Le bureau de l’actuel Céni a été nommé en octobre 2012, son mandat a expiré depuis octobre dernier.

En principe en pleines discussions intertogolaises, dont l’accord doit aboutir à une réforme fondamentale du cadre électoral, si les délégués arrivent à dégager un consensus, la sortie médiatique de la Céni n’a pas lieu d’être. Mais cela peut s’expliquer par la volonté du pouvoir de torpiller quelque peu le dialogue, ou tout simplement, il pourrait s’agir d’une réaction de classe des membres de cette institution, un zèle pour sauvegarder leurs intérêts. Il n’est un secret de personnes, l’organisation des élections est devenu un marché lucratif, et les membres de la Céni sont grassement payés. Les législatives 2013 ont coûté la bagatelle de 18 milliards CFA.



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