TOGO: Pouvoir et opposition encouragées par les Partenaires du Togo à aboutir à un consensus

Politique

Publié le lundi 26 mai 2014 | Le Télégramme du Togo

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Nicolas Berlanga-Martínez, le nouvel ambassadeur et chef de la Délégation de l`Union européenne (UE) au Togo

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Affaires réformes politiques relatives à l`APG de 2006

« Suite à des échanges internes au groupe, les chefs de mission du Groupe des 5
(Nations Unies, Union européenne, Allemagne, France, Etats-Unis) se félicitent de la reprise dialogue politique et de l´accord des parties sur le recours à la facilitation de Mgr Barrigah ». C’est ce que
l’on pouvait lire ce jour sur le site de l’Ambassade de France au Togo. A
travers un petit article mis en ligne par cette représentation de l’un
des partenaires au développement, du Togo, le Groupe des cinq manifeste
son adhésion à ce nouveau processus qui est en cours entre les acteurs
politiques.
Ils disent donc encourager « le pouvoir et l’opposition à tout
faire pour aboutir à un consensus sur les réformes nécessaires à
l´apaisement et la consolidation de la démocratie au Togo ».

Il faut noter que c’est sous la direction du prélat, que les discussions
ont repris ce lundi à la Direction générale de Togo Telecom. Elle a été
marquée par une suspension des travaux dans la matinée, ceci après un
débat houleux autour même de la présence de Me Zeus Ajavon dans la
délégation de l’ANC et de Professeur Komi Wolou du PSR dans la
délégation de l’ADDI.
« Pour que les choses évoluent, nous avons décidé de nous-mêmes,
de nous retirer. Maintenant, nous demandons à Mgr Barrigah de tout
mettre en œuvre pour résoudre ce problème. Il n’est pas normal que les
délégations qui sont composées puissent être remises en cause par les
autres partis », a déclaré Zeus Ajavon. Mais la question est de
savoir comment ce problème peut être résolu dans la mesure où Zeus
Ajavon a toujours crié qu’il est de la société civile et que les
discussions en cours concernent uniquement des partis parlementaires et
que d’ailleurs des députés présents à l’Assemblée, tel que Djimon Oré,
non inscrit, et Mme Koupokpa, de Sursaut National, n’ont pas accès à la
salle. La même question y va également à la présence de Professeur Wolou
lorsqu’on sait que son parti n’est pas parlementaire.
Difficile résolution à trouver mais on verra si les contorsions permettront d’y parvenir. Sacré Togo.

P.S, Lomé (Telegramme228)

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