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Le CST démenti par Nicodème Barrigah sur la question du silence des délégués d’UNIR au dialogue
Publié le samedi 31 mai 2014  |  AfreePress


© aLome.com par Parfait
Mgr BARRIGAH, le prélat médiateur du dialogue togolais.


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Togo - Les délégués du parti au pouvoir, l’Union pour la République n’ont jamais dit que leur parti sera « sourd » et « muet » par rapport aux questions de fond inscrites au dialogue en cours comme l’ont fait savoir au cours de leur dernière conférence de presse à Lomé, les responsables du Collectif « Sauvons le Togo » (CST).

C’est cette position qu’a affirmée vendredi au sortir des travaux du dialogue, monseigneur Nicodème Barrigah-Bénissan, facilitateur qui a voulu « couper court à toutes les supputations » sur les médias.
« Cette fameuse question de parti qui ne parle pas, je pense que l’occasion est venue de clarifier enfin ce qui s’est passé parce qu’on a lu beaucoup de choses sur les médias. Et l’explication devait être donnée pour couper court à toutes les supputations », a-t-il fait savoir.

« En réalité », a-t-il appuyé, il s’agissait d’une discussion qui a surgi au cours des travaux concernant les recommandations de la Commission Vérité Justice et Réconciliation (CVJR). « Me Doe Bruce, se référant aux travaux de la CVJR, avait interpellé directement le parti UNIR qui a répondu que les travaux de la CVJR étaient destinés à tous les citoyens et il ne voyait pas pourquoi le parti se sentirait interpellé. La même question étant revenue du côté de la formation ADDI, la personne interpellée a dit qu’elle pense avoir déjà suffisamment expliqué que les recommandations de la CVJR sont pour tous les citoyens ».
Et pour ne plus être interpellé sur la même question, le délégué d’UNIR a dit : « si vous m’interpellez encore sur cette question, je serai sourd-muet ».

Selon le CST démenti par le facilitateur, les délégués du parti UNIR au dialogue sont restés « sourds » et « muets » sur tous les douze (12) points inscrits à l’ordre du jour du dialogue. Mieux, ont-ils déclaré devant la presse, il n’y a pas de dialogue à Togotélécom, « il n’y a qu’un monologue ».

Telli K.

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