Trois faits majeurs sont à l’origine de l’échec des discussions entre partis de l’opposition et de la majorité parlementaire,estime Le Messager paru mercredi.
Le premier est le pessimisme affiché dès le départ par les membres du CST ; le second concerne l’irruption dans la salle de deux responsables du collectif non-membres d’une formation parlementaire ; enfin, explique l’hebdo, les accusations sans fondements portées contre UNIR, le parti au pouvoir.
‘Voilà qui montre la mauvaise foi du CST de voir le dialogue aboutir’, conclut Le Messager.