Le Syndicat national des journalistes indépendants du Togo (SYNJIT) et l’Union des journalistes indépendants du Togo (UJIT) se sont exprimés ce jeudi, 26 juin 2014 sur les états généraux de la Presse togolaise. Les deux organisations mènent le même combat. Elles vont aussi défendre une idée commune lors des assises de Kpalimé.
L’heure décisive s‘annonce à grand pas pour la presse togolaise. Les états généraux qui s’ouvrent le lundi 30 juin 2014 à Kpalimé concentrent désormais l’attention de toutes les organisations professionnelles. Après le PPT, le CONAPP-ATOPPEL, le syndicat national des journalistes indépendants du Togo et l’union des journalistes indépendants du Togo se prononcent aussi sur cette rencontre. Les deux organisations iront à Kpalimé pour défendre le même intérêt, celui des journalistes employés.
Le SYNJIT et l’UJIT se sont rapprochés pour défendre, à cette rencontre capitale, les questions qui conditionnent le bien être des journalistes des médias togolais, les employés notamment. Pour ces deux organisations, il faudra sortir des états généraux avec des résolutions concrètes et suivre de près les partenaires -ndlr : patronat et gouvernement- pour leur mise en œuvre.
C’est pour quoi, Alphonse Logo, secrétaire général du SYNJIT déclarait : « nous n’avons pas estimés qu’il faut quitter le processus…ce serait une erreur suicidaire pour nous… Nous avons remarqué qu’à l’étape actuelle des choses, les états généraux auront lieux. Si nous quittons, il n’y aura personne pour défendre nos intérêts et nous n’auront plus l’occasion de nous faire entendre. Nous avons besoin de nous faire respecter et bien vivre ».
Pour les deux organisations, il ne s’agira pas d’aller tergiverser aux états généraux.