Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article




  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Réformes / Manifestations : La "Majorité silencieuse" annonce sa +grande+ marche pour le lundi 30 juin à Lomé
Publié le samedi 28 juin 2014  |  Savoir News




 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Des mouvements et associations proches du pouvoir, regroupés au sein de la "Majorité silencieuse" tiendront finalement leur +grande+ marche le lundi 30 juin à Lomé, a annoncé vendredi soir à l’Agence Savoir News Hubert Atouyo, porte-parole de la "Majorité silencieuse".
"Notre grande marche aura finalement lieu le lundi 30 juin à Lomé", a affirmé M.Atouyo.
Initialement prévue ce samedi, cette marche avait été annulée, en raison de la manifestation du Collectif Sauvons le Togo (CST) annoncée le même jour.
Ce collectif a déclenché jeudi, trois jours de manifestations. Appuyés par la Coalition Arc-en-ciel, les militants et sympathisants dudit Collectif étaient dans les rues de Lomé ce vendredi pour exiger des réformes dans un cadre consensuel.
Pour la "Majorité silencieuse", l’Assemblée nationale demeure le seul cadre pour ces réformes.
Les réformes portent notamment sur la limitation du mandat présidentiel, le mode de scrutin pour la présidentielle et la reconstitution de la Cour constitutionnelle et de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
Aujourd’hui, ces réformes politiques constituent le principal sujet qui divise la classe politique togolaise. Les principaux partis politiques de l’opposition exigent notamment une limitation de mandat présidentiel avec +effet immédiat+ et un mode de scrutin à deux tours.
Selon des textes de réformes envoyés la semaine dernière au Parlement par le gouvernement "sous forme de projet de loi", ces deux points figurent en bonne partie. Sauf que la limitation ne tient pas compte de +l’effet immédiat+ exigé par l’opposition.
Précisons que cette exigence des principaux partis de l’opposition vise le président Faure Gnassingbé, élu en 2005 et réélu en 2010.
Pour l’instant, rien ne l’empêche de se représenter à la présidentielle de 2015, car selon l’article 59 de la constitution : "Le président de la République est élu au suffrage universel direct et secret pour un mandat de 5 ans. Il est rééligible". FIN
En Photo : Koffi Agbessi, coordinateur général de la "Majorité silencieuse".
Edem Etonam EKUE

 Commentaires