Le CST a implicitement reconnu que les 3 jours de manifestation avaient été en deçà de ses attentes.
‘Le bilan de ces trois jours est très positif, même si nous n'avons pas réussi à mobiliser autant de gens qu'en juin 2012’, a déclaré Zeus Ajavon, l’un des responsables de ce regroupement de partis d’opposition, au micro d'une radio privée.
Le CST exige des réformes institutionnelles et constitutionnelles, mais est opposé à ce que celles-ci soient discutées par l’Assemblée nationale.
La faible mobilisation observée en fin de semaine dernière est significative de la lassitude qui a gagné les sympathisants de l’opposition pour des marches stériles. Le message est clair : l'heure est venue de faire de la politique autrement.