Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article




  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

La vague blanche dans les rues de Lomé : L’Assemblée nationale ou rien !
Publié le mardi 1 juillet 2014  |  AfreePress


© Autre presse par DR
La vague blanche dans les rues de Lomé


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Togo - Des milliers de jeunes du Mouvement des Jeunes pour la Popularisation de la bonne Gouvernance (MJPG) ont défilé lundi dans les rues de Lomé pour chuter sur l’esplanade du Palais des congrès de Lomé, a constaté l’Agence Afreepress.

Les premiers dirigeants du MJPG entendent par cette mobilisation populaire inviter l’Assemblée nationale à faire fi des mensonges de l’opposition et à écouter la voix du peuple, celle qui souhaite que les réformes politiques se fassent au parlement.

L’assemblée nationale soutiennent-ils, reste l’unique cadre idéal pour les réformes électorales d’avant les présidentielles de 2015.
« Nous sommes fatigués du diktat de la pensée unique imposée par certains qui pensent que la démocratie s’obtient par la force. Nous voulons rappeler à tout un chacun que ce pays est un état démocratique et il y a des institutions qui incarnent cette démocratie», a lancé Koffi Agbéssi, coordinateur du MJPG aux militants.

Il a précisé que le MJPG n’est nullement contre les réformes politiques mais que si elles doivent se faire, il faut qu’elles se fassent à l’assemblée nationale car les députés qui y siègent, sont élus par le peuple.
Les responsables du MJPG ont témoigné leur gratitude au chef de l’Etat Faure Gnassingbé pour son engagement permanent à poser des pas qui hissent le Togo au rang des nations démocratiques.
«Le Togo n’est pas gouverné par une famille, il n’est pas gouverné non plus par un clan (…), il est dirigé par les togolais qui sont élus par les togolais » a tenu à préciser le MJPG.

Pour rappel, la manifestation du MJPG (proche du pouvoir) intervient quelques jours après celle de l’opposition qui exige un minimum de consensus sur les réformes essentielles à savoir notamment la limitation de mandat avec effet immédiat et le mode de scrutin à deux tours.

Bernadette A.

 Commentaires