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Le Groupe Accor et l’Etat togolais à couteaux tirés
Publié le dimanche 6 juillet 2014  |  Le Télégramme du Togo




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Togo - Selon une information de « La Lettre du Continent » reprise par nos confrères de « Liberté », plus rien va entre le Groupe français Accor qui a la gestion de l’hôtel Sarakawa en bordure de mer à Lomé et les autorités togolaises.

D’après le texte, « un arrêté d’expulsion devrait être émis le 25 juin dernier par les autorités togolaises en vue de procéder à l’expulsion d’Accor du pays, où le groupe français gérait l’hôtel Sarakawa sur front de mer de Lomé. Le confrère croit savoir que depuis plusieurs mois, les deux parties sont à couteaux tirés ».

Ainsi, « alors que la convention de gestion liant Accor au Togo a expiré le 1er août 2013, Lomé a régulièrement laissé entendre au groupe Accor qu’il restait le favori pour poursuivre la gestion de cet établissement emblématique de la capitale. Le président Faure Gnassingbé a réaffirmé ce choix auprès de François Hollande lors de sa visite à Paris, en novembre. Toutefois, ce scénario a été bouleversé dès l’instant où le secrétaire général de la présidence, Patrick Daté Tèvi Bénissan, a été dessaisi du dossier, il y a quelques semaines, au profit du puissant ministre de l’Economie, Adji Otèth Ayassor, un fidèle du Chef de l’Etat. Ayant eu vent de la volonté de Lomé de l’expulser, Accor a déposé dans l’urgence le 06 mai, via sont avocat, Jean Georges Betto (Cabinet Betto Seraglini), une requête d’arbitrage auprès de la Chambre de Commerce Internationale (CCI) de Paris contre la STIEH (Société togolaise d’investissement et d’exploitation hôtelière), propriétaire du Sarakawa. En cas de rupture de la convention, l’Etat togolais est tenu commercialement de verser une indemnité d’éviction. Accor réclame 10 millions d’euros de dommages et intérêts. Le Togo va-t-il préférer passer en force ? » C’est la grande interrogation.
En tout cas, jusqu’à ce que nous mettions ce texte en ligne, rien n’a filtré sur la décision des autorités togolaises.

G.K, Lomé

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