Le rejet du projet de loi déposé au parlement par le gouvernement continue d’inspirer les journaux.
Focus Infos fait un « décryptage et une analyse » de la situation et fait « des révélations ».
«Alors que la majorité déclare avoir rejeté un texte d’exclusion et épingle le refus de compromis de l’opposition, celle-ci dénonce un pouvoir réfractaire aux réformes et une hérésie politico-judiciaire », révèle le journal pour donner les raisons du rejet du projet de loi.
Dans les colonnes du journal la Dépêche, « c’est l’opposition qui a refusé le scrutin à deux tours avec une période transitoire de 10 ans », explique le président du groupe parlementaire UNIR qui estime que « le texte envoyé au Parlement n’est pas le projet de loi du gouvernement».
Cette affirmation remet en cause la réclamation de la Coalition Arc-En-Ciel à propos de la « dissolution de l’Assemblée nationale ou de la démission du gouvernement », comme l’écrit Focus Infos.
A l’Union des Forces de Changement (UFC), « c’est le regret et l’exhortation de la classe politique à un dialogue franc et sincère ».
« L’UFC regrette le rejet du projet de loi portant modification de la constitution », titre Forum de la semaine.
Le Messager de son côté fait cas des dispositions prises par l’opposition à la suite du rejet du projet de loi.
« Après le rejet de la loi sur les réformes politiques, Fabre dans les rues de Paris et Bruxelles», informe le journal.
Pour lui, « c’est encore une perte de temps du président de l’ANC qui se trompe toujours de stratégie».
Les réformes de l’armée annoncées par le Chef de l’Etat Faure Gnassingbé est cet autre sujet dont débattent les journaux en ce jour.
Le Triangle des Enjeux y trouve « trop de boucan » surtout que l’Armée n’a pas « un statut particulier ».
« Trop de boucan autour des réformes de l’armée togolaise sans les statuts particuliers », dénonce le Triangle des enjeux qui se demande « comment Faure Gnassingbé mystifie les officiers, joue et trompe les forces armées togolaises ».
Forum de la semaine dans un fait divers qu’il dénomme « drame » écrit : «Un professeur de français s’immole par le feu ».
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