Retour sur les fêtes du 14 juillet. Togo Presse signale mardi que le chef de l’Etat a adressé un message de félicitation à son homologue François Hollande. Selon Forum de la Semaine, le Togo n’a pas été invité aux festivités car en 1914 le territoire était une colonie allemande en guerre contre la France.
L’Indépendant Express commente une petite partie du discours de l’ambassadeur Nicolas Warnery qui s’est déclaré ‘frustré et surpris’ par le vote des députés qui ont rejeté en bloc le projet de loi sur les réformes politiques.
Mais le journal omet de mentionner les assurances données par le ministre des Affaires étrangères, Robert Dussey sur la promotion de la démocratie.
L’expulsion du Groupe Accor de l’hôtel Sarakawa de Lomé suscite de nombreux commentaires. ‘Un désaccord humiliant pour la France au Togo.
C’est une première victoire de Lomé qui doit s’attendre à la contre-offensive d’Accor’, prévient L’Alternative.
L’Etat togolais risque de verser jusqu’à 10 millions d’euros de dommages intérêts, affirme Le Télégramme du Togo.
‘Il importe de dire que la nécessité pour l’Etat togolais est de trouver un repreneur dans les meilleurs délais’, écrit Le Médium.
Après Accor, l’Espagnol Pefaco serait dans le collimateur des pouvoirs publics, indique L’Indépendant Express. Sauf que cette société n’a pas encore d’hôtel dans le pays. Elle a lancé la construction d’un établissement, mais les travaux sont arrêtés depuis plusieurs mois.
En rubrique politique, Liberté transforme un communiqué anodin de la Cédéao en une ‘pression de plus exercée sur le chef de l’Etat’.
L’organisation régionale s’est contentée d’écrire qu’elle souhaitait des scrutins libres et transparents dans les pays où se dérouleront des élections en 2015. Rien de plus.
Face au rejet des réformes politiques, le CST (opposition) redoute des violences, indique Actu Express.
Le gouvernement et les syndicats de fonctionnaires ne sont pas parvenus à un accord lundi sur une augmentation des salaires. Les négociations doivent se poursuivre, mais L’Indépendant Express parle déjà d’un ‘nouveau fiasco’. ‘Les travailleurs maintiennent la pression’, précise L’Alternative.