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Togo : Après Gilchrist, un autre Olympio fait du bruit
Publié le mercredi 16 juillet 2014  |  Afrika Express


© Autre presse par DR
Alberto Olympio, Togolais de la diaspora, CEO d`Axxend.


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Alberto, le président du Parti des Togolais, PT, a visité dimanche la fédération locale de son nouvel opus à Nyékonakpoe. Ce déplacement vise à sensibiliser les populations sur le parti, esquivant ainsi les premiers de danse pour la présidentielle de 20145.

« La liberté s’entend aussi du droit de se nourrir tous les jours à sa faim, s’éduquer pour s’épanouir, se soigner quand on est malade et faire son entreprise et gagner de l’argent sans arbitraire. Cette réussite s’annonce dans quelques mois. Il y a à peine 2 ans, le pouvoir disait avec fierté, arrogance et mépris au peuple togolais que les biens du Togo sont entre les mains d’une minorité. Bientôt, le Togo va reprendre ses droits. Je viens avec mon expérience me mettre au service du peuple togolais », ces mots de l’informaticien de Microsoft, Alberto Olympio mettent en évidence son entrée subite sur la scène politique togolaise.

A Nyékonakpoè et Kodjoviakoé, Alberto Olympio et sa suite ont encouragé l’adhésion des militants et sympathisants de ces les membres de cette fédération et les populations de ces deux quartiers de Lomé connu fief de l’opposition radicale au regard de violences politiques qui y sont fréquentes.

Pour le cousin de Gilchrist Olympio, c’est un signe de patriotisme de voir ses concitoyens et concitoyennes toujours engagés pour défendre le but fixé depuis le 5 octobre 1990, lorsque le Togo tout entier s’est levé pour réclamer sa liberté.

« C’est une lutte qui a duré 25 ans mais elle continue encore et nous nous réjouissons que nos aînés aient réussi à arracher des pans de liberté dont nous jouissons tous aujourd’hui », a-t-il rappelé.

Alberto estime que la lutte n’est pas encore terminée, parce que le Togo, selon lui, est toujours dans les « ténèbres » et ses fils et filles doivent continuer de lutter pour avoir une liberté « totale » dépassant le droit de se réunir.

Au cours de cette rencontre, a été présenté au public, le bureau la fédéral Nyékonakpoè-Kodjoviakopé du Parti des Togolais composée de onze (11) personnes dont trois femmes.
Pour Julie Edith da Silva à la tête de cette fédération du Parti des Togolais, la visite du président national, vient les galvaniser pour démontrer à la jeunesse togolaise en quoi le PT est « spécial ».

Le mercredi 16 août, c’est la fédération de Bassadji, toujours à Lomé que M. Olympio souhaite visiter. Le samedi 2 août 2014 par le congrès national du Parti des Togolais au stade de Kégué, a-t-on annoncé.

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