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Pour Arc-en-ciel, l’UFC n’est pas un parti d’Opposition
Publié le samedi 19 juillet 2014  |  Le Temps


© Autre presse
Gilchrist OLYMPIO, président de l’Union des Forces de Changement (UFC)


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Pour la Coalition Arc-en-ciel, la réponse est non. Depuis l’accord d’un gouvernement d’union nationale entre l’UFC et le RPT-UNIR en 2010, les partis membres de la Coalition Arc-en-ciel ne considèrent plus le parti de Gilchrist Olympio comme un parti d’opposition, mais bel et bien comme l’allié du parti UNIR au pouvoir. Et ceci remet en question la répartition des sièges à la Commission électorale nationale indépendante (Céni).

La question est revenue sur la scène avec l’appel à candidatures en vue du renouvellement de la Céni lancé par le président de l’Assemblée nationale, Dama Dramani. L’appel à candidatures est lancé en direction des organisations de la société civile et des partis politiques extraparlementaires et des partis politiques de l’opposition parlementaire.



5 sièges sont réservés à l’opposition parlementaire. La Coalition Arc-en-ciel a attrapé la balle au bond en demandant un éclaircissement en ce qui concerne le statut de parti d’opposition parlementaire, en demandant que l’on en exclue l’UFC, vue comme membre de la majorité parlementaire.

Pour la Coalition Arc-en-ciel, le quota des 5 sièges réservé à l’opposition parlementaire doit aller aux formations politiques qui ne siègent pas au gouvernement ou ne lui apportent pas leur soutien. En clair, c’est l’UFC de Gilchrist Olympio qui est visé.

Faute d’avoir eu des explications convenables, la Coalition Arc-en-ciel ne compte pas accompagner une approche tronquée de la notion d’opposition politique.

La Coalition Arc-en-ciel ne compte pas cautionner cette absurdité qui veut qu’on soit au gouvernement et en même temps de l’opposition.

La question relève d’une grande importance, en effet, à l’heure de faire les comptes. L’UFC a voté contre le projet de loi de révision constitutionnelle présenté par le Gouvernement, un projet de loi qui limite le mandat présidentiel et réduit les chances de Faure Gnassingbé de se présenter à un 3ème mandat.

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