Une rencontre consacrée au bilan à mi-parcours et à la validation d’un nouveau plan de travail du Projet Gestion Intégrée des Catastrophes et des Terres (PGICT) s’est tenue à Lomé ce jeudi 24 juillet 2014. Elle intervient dix-huit mois après la mise en œuvre des activités au programme du PGICT initié par le gouvernement togolais afin d’accroître la résilience du pays face aux risques de catastrophes et la gestion durable des terres.
La première phase de la mise en œuvre du projet a consisté au renforcement institutionnel des structures notamment le corps des sapeurs-pompiers, la Croix Rouge, les services de la météorologie et même de l’unité de pilotage du projet. Ce bilan a permis de jeter les bases d’une nouvelle dynamique pour l’exécution de la deuxième phase.
Pour Amidou Morou, le coordonnateur du projet, il est désormais question de renforcer encore plus le système national d’alerte précoce, ainsi que les actions menées par le passé pour faire en sorte que les structures impliquées dans la gestion des catastrophes naturelles, puissent apporter des secours adaptés aux éventuels sinistrés.
La Banque Mondiale partenaire privilégiée du projet note avec satisfaction sa première phase. Son représentant résidant au Togo, Koffi Hounkpe, spécialiste en gestion de risques de catastrophes a réitéré l’accompagnement de son institution au PGICT pour les réalisations futures.
Par ailleurs, la rencontre a permis de finaliser le plan de travail et de budget annuel dudit projet pour la période de juin 2014 à juin 2015.
Pour combattre les risques de catastrophes le Togo, depuis le mois d’août 2013 a adhéré à l’initiative de l’Union Européenne (UE) sur les menaces chimiques, biologiques et radiologiques. Une équipe de l’UE est présente au Togo pour une sensibilisation des acteurs locaux.
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