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Jeunes béninois et togolais à l’école de l’entrepreneuriat au Bénin
Publié le lundi 4 aout 2014  |  AfreePress




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Togo - Quarante (40) jeunes Togolais choisis dans toutes les régions du Togo suivront pendant deux (2) semaines aux côtés de soixante (60) jeunes Béninois à l’Université de Lokossa au Bénin une formation intensive sur l’entrepreneuriat et le développement économique pour l’acquisition des compétences techniques capables de leur permettre de démarrer une activité génératrice de revenus.

C’est un camp de jeunes dénommé « Financial Independence Summer Camp Initiative » et initié par les ambassades des Etats-Unis au Togo et au Bénin.
« C’est un programme qui permettra à ces jeunes âgés entre 22 et 28 ans de participer à une formation sur l’entrepreneuriat et les techniques pratiques pour améliorer leurs capacités de monter des entreprises ou des petits commerces », a expliqué David Meron, directeur session Affaires Publiques à l’ambassade des Etats-Unis au Togo.
Telli K.
Le domaine de l’art plastique est large et varié.

Je suis dans la clinique sur toile accompagné du fer. La clinique je parlerai de différentes sortes de peinture que nous prenons pour assaisonner le travail. Sur toile nous disons c’est le pagne si je parle du bois c’est pour l’encadrement, du peaufiné aluminium c’est la matière alu
« Ce qui m’a guidé c’est que dans la vie j’ai n’aime pas beaucoup parler. J’ai donc adopté l’art pour m’exprimer et la clinique sur toile est me parait le plus adapté pour mon besoin de m’exprimer »
« Je ne suis pas enfermé dans es carcans d’un courant artistique. Je suis ouvert à tous les courants. Pour mieux s’exprimer il faut emprunter des éléments théoriques de tous les courants.par exemple des courants d’idées explique l’utilisation de la couleur noire comme un élément satanique. Ce contre quoi je suis contre. C’est pour dire que nous exploitons de façon éclairé des données des courant ».
« Ce qui m’a le plus marqué est Paul Ayi et la deuxième personnalité est Senaya Djimi hope »
« Je crois que l’artiste ne doit pas au premier ressort visé vivre de son art mais vivre son art. je sais que nous sommes dans un monde de consommation et de besoin financier. Mais personnellement je n’ai pas opté pour l’art pour être riche ».
« Nous sommes dans un pays sous développer l’art n’a pas un essor en ce qui concerne l’écoulement des œuvres déjà c’est un pari irréaliste de vouloir dès l’entrée dans l’art vivre de cela mais difficile donc le mieux dans mon entendement c’est faire son art avec son cœur comme si on espère rien de cela en cherchant les ressources ailleurs mais vers la fin l’art fait avec du sérieux et d’entrain paie toujours ».
Bernard Amehame a déjà fait des expositions à la Btci, à l’état major des Fat sur la paix et le désarment il espère atteindre le génie du plasticien américain S Freud.

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