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Le CNLS a mis en place un observatoire sur la stigmatisation et la discrimination à l’égard des PVVIH
Publié le mercredi 27 aout 2014  |  AfreePress




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Togo - La prévalence de lutte contre le VIH/sida est passée de 6 à 2% entre 1999 et 2013. 9,2% des Personnes Vivant avec le VIH (PVVIH) ont été exclus d’une activité familialeau moins une fois au cours des douze (12) derniers mois, 33,5% de ces personnes ont rapporté avoir éprouvé des difficultés d’accès au logement et les pertes d’emplois ont été rapportées par 28,8% des PVVIH.




C’est pour contribuer à la riposte sur ce plan que le Réseau des Associations des Personnes Vivant avec le VIH au Togo (RAS+ Togo) avec le soutien du Comité National de Lutte contre le Sida et les Infections Sexuellement transmissibles (CNLS-IST) a lancé officiellement mardi à Lomé un observatoire sur la stigmatisation et la discrimination à l’égard des PVVIH.

Ce dispositif a pour objectif d’officialiser l’existence de l’observation sur la stigmatisation envers les personnes Vivant avec le VIH.

« Cet observatoire va avoir un comité de suivi. C’est un comité directeur qui élaborera toutes les stratégies pour la mise en place et l’exécution de toutes les activités. A part ce comité de suivi, il y a un secrétariat technique qui est assuré par le réseau des associations des personnes vivants avec le VIH/sida et ce réseau s’appuie sur plus de 150 bénévoles et ses bénévoles ne sont pas seulement des personnes recrutés par le RAS+ Togo», a fait savoir le professeur Vincent Pitché, président de la RAS+ Togo.

Selon lui, « c’est aussi des personnes qui sont au quotidien des personnes vivant avec le VIH dans les structures publiques qui font la prise en charge de ses personnes, dans les structures confessionnelles, associatives et dans les structures privées qui couvrent tout le territoire pour pouvoir documenter, remonté, accompagner ces personnes victimes de cas de stigmatisations et de discrimination ».

Le coordinateur du secrétariat permanent de lutte contre le VIH/sida au Togo, Augustin Dokla, a souligné que ces personnes bénévoles vont également se reposer sur un certain nombre d’acteurs sur le terrain, des personnes ressources à savoir les magistrats, les présidents des tribunaux, les chefs traditionnels, les commissaires de police, les commandants de brigade, les présidents des Comité de Développement de Quartier (DCQ).

La lutte contre le VIH/sida au Togo a connu des avancées « notables » grâce à l’action conjuguée du Gouvernement et de la société civile à travers le Centre National de Lutte contre le Sida (CNLS), des OSC et des partenaires en lutte contre cette pandémie.

Bernadette A.

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