Les méthodes de gangstérisme de Jonathan Fiawoo et ses lascars: La parution de L’Alternative de vendredi passé ramassée pour empêcher l’opinion d’avoir accès à l’information

Société

Publié le jeudi 28 aout 2014 | L'Alternative

© Autre presse par DR
Jonathan Fiawoo, président de la Chambre de commerce et d’industrie du Togo (CCIT)

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Le Président de la Chambre de commerce et d’industrie du Togo (Ccit), Jonathan Fiawoo impliqué jusqu’au cou dans le scandale Ecobank et ses réseaux n’en finissent pas d’étonner l’opinion. Non seulement ils excellent dans la propagation de fausses informations, l’intoxication, mais aussi ils viennent de poser un pas inquiétant dans la libre diffusion de l information.

Après avoir tenté par tous les moyens et par plusieurs réseaux de nous convaincre de renoncer à la parution de L’Alternative N° 353 du vendredi 22 août, un marchandage contre espèces sonnantes et trébuchantes, en vain, ces lascars et leurs exécutants se sont organisés pour acheter en gros toute la parution, afin d’empêcher l’opinion d’avoir accès au dernier développement du dossier Fiawoo. En dehors des jeunes à qui ce sale boulot a été confié, des confrères bien connus de notre Rédaction et envers qui nous n’avons aucun différend se sont lancés aussi dans cette curieuse aventure non seulement attentatoire à la confraternité, mais aussi au droit à l’information des populations. C’est vraiment triste voire lamentable que des journalistes s’embarquent dans de telles aventures, dans l’unique but de protéger un prédateur d’une banque contre une poignée de billets de banque.

Jonathan Fiawoo et ses acolytes qui répandent tous les jours des tonnes de mensonges dans l’opinion, accusant à tout vent la banque, jettant l’opprobre sur sa compagne de plus de 30 ans, se sont tiré une balle entre les pieds et compliquent leur situation. Il faut être un homme cynique, sans coeur pour se livrer à ce jeu. Si tant est que le mafieux n’a rien à se reprocher, pourquoi s’agite-t-il tant au point de faire acheter en gros les journaux sur le marché, empêchant ainsi l’opinion d’avoir accès à l’information ?

En attendant de revenir sur d’autres éléments du dossier que nous avons promis, à la demande de nos lecteurs qui ont été sevrés vendredi par ce gangstérisme, nous reprenons en intégralité l’article paru dans notre précédente parution.

Quant aux exécutants de sales boulots, ils ont intérêt à arrêter leur jeu, autrement nous les mettrons sur la place publique.

Mensah K.

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