Le no man’s land séparant le Togo du Ghana au niveau de Lomé est squatté par une poignée de résidents. En toute illégalité car cette réserve administrative de 200 mètres de large est une zone frontalière.
Les habitants ont quelques jours pour quitter les lieux. Mise en garde lancée dimanche par Fiatuwo Sessenou, le ministre de l’Urbanisme.
En 1986, ce no man’s land avait été crée pour lutter contre les trafics à la frontière et les habitants dédommagés, mais certains sont revenus depuis.
Les secteurs concernés se situent à Attikoumé, Awatamé, Yokoè, Sagbado, Lankouvi et Kodjoviakopé.