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Les femmes de Tsévié entretenues sur leurs «droits» par le Parti des Togolais
Publié le lundi 15 septembre 2014  |  AfreePress


© aLome.com par Parfait
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Après les quartiers de Lomé et ses environs, c’est au tour des populations de la ville de Tsévié (35 km au nord de Lomé) de bénéficier du programme de formations civiques initié depuis quelques temps par le Parti des Togolais.


Les femmes et les jeunes filles du chef-lieu de la région maritime ont été entretenues samedi par Me Célestin Agbogan, vice-président de la Ligue togolaise des droits de l’homme (LTDH) sur les « droits de la femme au foyer », a constaté l’Agence de presse Afreepress.

Pour Nathaniel Olympio, directeur de cabinet du président du parti organisateur, c’est le peuple togolais qui a exprimé à plusieurs reprises la nécessité d’être formé sur les questions sociétales et politiques afin de prendre les bonnes décisions en connaissance de cause. « Il ne s’agit pas d’un programme électoraliste. Nous l’avions mis en place de manière durable et il ira au-delà des élections et durera aussi longtemps que le peuple togolais estimera qu’il est utile», a-t-il ajouté.

Au menu de cette formation, les droits de la femme dans le mariage du vivant de l’époux et les droits successoraux, surtout au décès de l’homme.


« Nous avons estimé que les femmes ignoraient pour la plupart des cas leurs droits, surtout au foyer. Même celles qui connaissent leurs droits ont parfois la peur de saisir l’autorité compétente lorsque l’un quelconque de ces droits est violé, surtout lorsqu’elle subit des sévices corporels ou lorsqu’elle est chassée de la maison de son mari décédé avec son enfant mineur », a expliqué le formateur.

Au foyer, les femmes ont le droit d’exercer une activité professionnelle indépendamment de celle de leur époux, le droit d’amasser du trésor à travers le fruit de ses activités professionnelles, le droit pour la femme d’être dotée et de célébrer un mariage civil pour qu’à l’avenir elle n’ait pas des problèmes connus dans les sociétés africaines, a appris aux participants ME Agbogan.

Sur le plan des droits successoraux surtout au décès de l’homme, il a été question des traitements « humiliants » pour le veuvage auxquels les femmes sont soumises et leur droit d’hériter.

Telli K.

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