Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Député non inscrit, Djimon Oré : « Ce qui se passe à l’Assemblée nationale, c’est malsain »
Publié le jeudi 18 septembre 2014  |  Le Télégramme 228


© aLome.com par Parfait
M. Djimon Oré
Député ả l’Assemblée Nationale Togolaise, ancien Ministre de la communication.


 Vos outils




Il brille depuis la semaine dernière par son absence aux travaux de l’Assemblée nationale devant aboutir à l’élection des membres de la Cour constitutionnelle et de la nouvelle CENI devant conduire l’organisation de la prochaine présidentielle. Lui c’est le député Djimon Oré. Cet ancien élu de l’UFC aujourd’hui président d’un petit parti de l’opposition, du nom de FPD (Front des Patriotes pour la Démocratie).

Dans une intervention médiatique ce mercredi, il a qualifié ce quoi se passe actuellement au niveau de l’hémicycle de « malsain » et de « mascarade organisée ». Mieux, il trouve que ceci « ne va pas dans le sens de l’intérêt national ».

Pour cet ancien membre du bureau politique du parti de Gilchrist Olympio, exclu depuis plus d’une année, tel l’apôtre d’une transition politique consensuelle, « les conditions ne sont pas réunies pour une élection présidentielle en 2015 ». Il pense que « le processus électoral en cours est vicié » et que « la présidentielle de 2015 n’apportera rien ».

Ce sont là quelques unes des raisons qui justifient son refus de prendre part aux travaux de l’Assemblée nationale devant mettre en place ces institutions qui ont pour mission de s’impliquer dans l’organisation de ce scrutin.

Jetant pour finir un regard plus large sur tout le Togo et la gouvernance actuelle, l’ancien ministre de la Communication, Djimon Oré, voit « un pays passé d’une démocratie à une dictature de terreur » puis qui s’oriente par la suite vers « une monarchie ». Vrai ou faux, seul le président du FPD dispose des éléments de son analyse.

 Commentaires