La situation des journalistes togolais n’est pas reluisante, constate jeudi Flambeau des Démocrates.
Pour boucler leur fin de mois, ils sont obligés d’aller quémander quelques milliers de Fcfa auprès d’un homme politique, d’un chef d’entreprise ou d’un annonceur qui vient de tenir une conférence de presse. Ces pourboires – de 2000 à 5000 Fcfa – sont appelés ‘communiqué final’. Et ces modiques sommes sont souvent partagées avec le patron du journal.... suite de l'article sur Autre presse