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Le CAR exige la modification de la loi portant statut de l’opposition, qui reconnaît l’UFC comme parti de l’opposition
Publié le samedi 20 septembre 2014  |  Autre presse


© aLome.com par Parfait
Jean KISSI et Me APEVON(G), tous deux députés du CAR


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Le CAR a dénoncé à travers un communiqué parvenu à l'Agence Afrique-Monde, 'accord reconnaissant l’Union des forces de changement (UFC) comme parti membre de l’opposition togolaise au sein de l’Assemblée nationale togolaise et ayant représentant au sein de la Commission électorale nationale indépendante (CENI).


Le communiqué marque son désaccord par rapport à ce qu’il appelle « un arrangement intervenu le 17 septembre 2014, pour la mise en place de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) ». Le CAR ne veut pas parler de consensus mais d’arrangement puisque selon ses leaders, l’UFC qui cogère le pays avec le pouvoir, n’a plus sa place au sein de l’opposition. Le parti n’approuve pas le fait que l’UFC se fait « attribuer un des cinq sièges devant revenir à l’opposition parlementaire ».


Le CAR, selon le communiqué souligne « fermement attaché à l’idée qu’une formation politique qui siège au gouvernement, ne peut jouir des droits et prérogatives de l’opposition ». « tant au cours du dialogue Togotélécom II qu’à l’occasion des concertations à l’Assemblée Nationale, les parties prenantes ont reconnu qu’il s’agit là d’une anomalie grave et se sont engagé à réviser en conséquence la loi portant statut de l’opposition », rappelle le communiqué. Le CAR invite donc « toutes les sensibilités politiques à l’Assemblée nationale à œuvrer à la modification de cette loi et à la réalisation de l’ensemble des réformes institutionnelles et constitutionnelles en attente en vue du bon déroulement des prochaines élections ».


(NAP/2014)

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