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Togo : le malheur qui frappe le clan au pouvoir, quand la nature règle ses comptes à Dama Dramani
Publié le mercredi 24 septembre 2014  |  Togo online


© aLome.com par Parfait
Le Président de l’Assemblée Nationale du Togo, DAMA DRAMANI.


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Des évènements malheureux surviennent depuis un certain moment au Togo et secouent la plupart des cadres du régime RPT/UNIR, leurs familles ou encore leurs proches. Un de ces évènements malheureux survenu au cours de la semaine dernière après les multiples cas d’évacuation pour des raisons de santé, est sans doute l’accident de circulation de la famille de l’actuel président de l’Assemblée nationale Dama Dramani.


En effet, le mardi 16 septembre 2014, le chauffeur privé de monsieur Dama Dramani et trois de ces enfants ont eu un accident grave du retour du village de l’autorité.

D’une source de la famille, jusqu’à présent, le bilan dudit accident est de un mort et des blessés graves. Le chauffeur a succombé sur le champ tandis que l’un des fils du président se trouve quant à lui dans un coma profond. Les sources proches de la famille révèlent qu’il est entre la vie et la mort. Cet énième évènement malheureux survenu sur la famille d’un haut cadre du parti au pouvoir doit normalement réveiller la conscience (s’ils en ont encore hein) de tous ceux et celles qui président à la destinée de cet Etat et doit les inviter à ne chercher que le bien de ce peuple au lieu de sacrifier ce dernier sur l’autel des intérêts inavoués, sordides et macabres.

Plusieurs langues affirment que le chauffeur a été sacrifié et ces genres d’évènements malheureux sont pour la plupart annonciateurs de quelque chose. Le président de l’assemblée nationale doit alors se ressaisir et corriger les gaffes qu’il a commises contre ce peuple avant que la nature ne déverse sa colère sur lui-même.

De l’entêtement dans le mal des autorités togolaises au règlement de compte de la nature.


La nature règle toujours des comptes à ceux qui enfreignent ses lois. Le cas des autorités togolaises en est révélateur. En effet, depuis le décès du défunt président Eyadema Gnassingbé qui, voulant jouer avec la destinée du peuple togolais n’a pas pu terminer son mandat présidentiel après avoir mis en cause sa parole de militaire. Cette réalité s’est accentuée au lendemain des législatives de juillet 2013 avec une vague d’évacuation sanitaire de certains dirigeants clés du pouvoir qui sont allés contre la volonté du peuple togolais.

Les cas de l’actuel premier ministre Arthème Séléagodji Ahoumey-Zunu qui traine encore les séquelles de la maladie du siècle, celui de Dahuku Péré le mercatho politique qui est toujour dans un état critique à l’hôpital Saint Jean de Dieu à Tanguiéta (Bénin) , celui de la présidente de la CENI, Angèle Dola Aguigah et tout récemment du président de la HAAC, Richard Kokou Tozoun dont le régime RPT/UNIR n’avait rien à foutre et c’est grâce au consul Victor Sossou qu’il a été évacué sur la France, en sont révélateurs de ce qu’ils sont en train de subir la colère de la nature pour avoir opter pour l’oppression des populations togolaises en soutenant le mal contre ces dernières. Ils ont donc voulu joué avec le destin d’un peuple et paient aujourd’hui sans qu’ils ne se rendent compte de ce que ce sont les actes macabres qu’ils jouent, qui sont à l’origine de l’état dans lequel ils se retrouvent aujourd’hui.

Lorsque ces derniers ne sont pas personnellement foudroyés, ce sont leurs enfants ou membres influents de leurs familles qui en pâtissent.

L’exemple le plus récent est celui de l’accident du chauffeur et des enfants du président de l’Assemblée Nationale, Dama Dramani. Cet homme par qui le régime passe pour opérer de basses besognes.

Cet adage illustre à suffisance ce scénario du malheur qui s’abat sur les cadres du parti au pouvoir : « Lorsque le père a mangé les raisins verts, ce sont les enfants qui ont eu les dents agacées. » Mais bien avant lui, c’est le frère du tristement célèbre ministre de l’administration territoriale et des collectivités locales, Gilbert Bawara qui s’est fait écrasé par un titan et a rendu l’âme sur le champ il y a quelques mois.

« La voix du peuple, c’est la voix de Dieu », dit-on souvent. Alors tous ceux qui iront à l’encontre de cette voix dans la perspective des futures joutes présidentielles, celles de 2015 évidemment se verront châtier par la colère de la nature et les conséquences ne seront pas aisées pour ces fils de diable qui prévoient déjà dans l’ombre des lendemains difficiles pour le peuple togolais. Que l’exemple de l’ancienne présidente de la CENI Angèle Dola Aguigah inspire ces ennemis du peuple togolais.


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