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Me Jil-Benoît Afangbédji parle des forces et des faiblesses de la Cour de justice de la CEDEAO
Publié le jeudi 25 septembre 2014  |  AfreePress


© aLome.com par Parfait
Me Gil Benoit AFANGBEDJI, président de Ensemble pour les Droits de l’Homme (EDH)


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Togo - La Cour de justice de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), forces et faiblesses », c’est le thème sous lequel Me Jil-Benoît Afangbédji, avocat togolais a relevé mercredi à Lomé au cours d’une conférence l’importance, le rôle et le travail déjà abattu par cette cour, a appris l’Agence de presse Afreepress.

Cette juridiction, selon le conférencier, abat un « grand » travail mais elle a certaines faiblesses qu’il convient de corriger.

« Cette cour a rendu des arrêts très importants qui doivent être totalement exécutés dans l’intérêt de tous les citoyens de la CEDEAO. Il y a aussi la non récusation d’un magistrat dans une affaire dont son Etat est partie, une disposition doit être adoptée pour que cette situation soit réglée. C’est dans l’intérêt de la bonne administration de la justice », a déclaré Me Afangbédji.

Pour lui, cette conférence n’a pas pour but d’affaiblir ni de détruire la cour de justice de la communauté CEDEAO qui abat un grand travail et connaît de tous les cas de violation de droits de l’homme, a-t-il a précisé tout en ajoutant que si des critiques ne sont pas faites, elle ne va pas s’améliorer.

Ont pris part à cette rencontre, les leaders politiques, les représentants des organisations de défense des droits de l’home et de la société civile.

Récemment, le collectif d’avocats de Kpatcha Gnassingbé et de Pascal Bodjona, dont Me Jil-Benoît Afangbédji, respectivement dans l’affaire d’atteinte à la sûreté de l’affaire d’escroquerie internationale ont saisi la Cour de justice de la CEDEAO pour violation des droits de leurs clients.

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